Conseil Municipal du 11 juin 2018

Ce conseil municipal a été convoqué par la maire Charnay après qu’elle a annulé celui du 4 juin dernier sous un prétexte fallacieux et une crise d’autoritarisme (voir nos explications par ailleurs sur notre site). La maire a été particulièrement incompétente, ne sachant pas quoi répondre, aucune maîtrise des dossiers, ignorante en tout !

La protection fonctionnelle du délinquant Passi (voir la dernière délibération) a suscité une émotion considérable dans le public, une énorme  indignation partagée. Cela n’a pas empêché les élus de la majorité de les voter faisant ainsi payer aux Givordins les frais de justice du délinquant Passi. La position des élus socialistes et des autres élus alliés des communistes a été ignoble. Les communistes ont entraîné leurs alliés dans le gouffre de la turpitude.

Comme toujours, nous publions ici seulement les interventions préparées à l’avance. Pour les interventions (nombreuses) spontanées, voir les vidéos sur ce même site.

 

Projet de délibération n°1

RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU CONSEIL MUNICIPAL – PLACEMENT DES CONSEILLERS MUNICIPAUX

Après la crise de nerfs de la maire Charnay le lundi 4 juin dernier au cours duquel elle a tout simplement annulé ce conseil (à inscrire dans les annales du conseil municipal de Givors…), elle remet ça pour cette fois mais en respectant les règles de droit. En effet, elle propose au vote du conseil une délibération pour modifier les attributions de place dans la salle du conseil.

 

Michelle Palandre

Mme Charnay, si vous aviez proposé cette délibération au conseil municipal du 4 juin, l’ambiance aurait été  moins tendue. Cela aurait au moins eu le mérite de coller au communiqué de presse que vous avez envoyé le soir même qui ne reflétait absolument pas la réalité. Vous vous permettez en plus de déclarer que c’est notre faute. Nous ne sommes pas des enfants, nous avons le droit à un minimum d’explications, car non seulement  ce que vous avez fait n’est pas poli, mais surtout c’est illégal. Vous êtes le Maire de cette ville, mais vous surtout le maire de tous les Givordins, et ça vous semblez l’oublier. Je me permets de vous rappeler que tous les groupes de l’opposition réunis représentent plus de voix que la majorité, donc quand vous nous manquez de respect, vous manquez de respect à une majorité des électeurs. De plus, je ne suis pas convaincue que la place de chacun de nous ait une importance capitale pour le bon déroulement des séances du conseil municipal. D’ailleurs, votre soudaine envie de modifier les places, votre attitude irrespectueuse et le fait que le quorum, sans nous, n’était pas atteint, me laisse penser que vous ne souhaitiez pas que ce conseil du 4 juin ait lieu. Vous maintenez votre position aujourd’hui pour ne pas perdre la face, mais le doute s’est installé. Nous voterons contre cette modification, même, si, bien sûr, nous nous plierons à la décision du conseil.

 

CONTRE

 

Projet de délibération n°2

CONSTATATION D’EXTINCTION DE CRÉANCES SUITE A ORDONNANCE CONFÉRANT FORCE EXÉCUTOIRE AUX RECOMMANDATIONS DE LA COMMISSION DE SURENDETTEMENT AUX FINS DE RÉTABLISSEMENT PERSONNEL SANS LIQUIDATION JUDICIAIRE

 

Prend acte

 

Projet de délibération n°3

ACTUALISATION DES TARIFS MAXIMAUX DE LA TAXE LOCALE SUR LA PUBLICITÉ EXTÉRIEURE

 

POUR

 

Projet de délibération n°4

CONSTRUCTION D’UNE CRÈCHE SUR LE QUARTIER DES PLAINES : AUGMENTATION DE LA CAPACITÉ DE L’ÉQUIPEMENT ET SIGNATURE D’UN AVENANT à LA CONVENTION DE MAÎTRISE D’OUVRAGE UNIQUE

 

POUR

 

Projet de délibération n°5

RAPPORT SUR L’UTILISATION DE LA DOTATION DE SOLIDARITÉ URBAINE EN 2017

 

Michelle Palandre

3 370 043 € de dotation de solidarité urbaine en 2018 contre 3 236 996€ en 2017, une dotation qui augmente d’année en année pour Givors. Doit-on  s’en réjouir, certainement pas. C’est la preuve que les Givordins  s’appauvrissent de plus en plus. Je rappelle les critères d’attribution requis pour la DSU : une pression fiscale forte, beaucoup de bas revenus, des nombreux logements sociaux et des quartiers prioritaires. Ça ne fait pas rêver ! Que faites-vous de cette dotation ? Des jeux, des animations de quartiers,  des rénovations d’école et de bâtiments publics liés au social, bref rien de bien transcendant. Pour avoir un bon cadre de vie, il faut d’abord y installer la sécurité. 30 000€ consacrés à la sécurité dans votre rapport soit moins de  1% du montant total. C’est pourtant ce que les Givordins attendent, notamment ceux qui vivent dans les quartiers prioritaires. Vous n’investissez pas non plus pour le bien-être des handicapés. Pour l’insertion vers l’emploi et la cohésion sociale, un ancien ouvrier de VMC, issu de l’immigration, l’a bien résumé dans un article du Progrès le 29 mai dernier, je cite : « À la verrerie, il n’y avait pas de religion, pas de nationalité, mais une grande solidarité. Les femmes et les enfants aussi y sont attachés » et sa fille continue en disant : « C’était notre quotidien, ma mère retrouvait les autres femmes des verriers à la laverie ». Voilà la solution à tous les problèmes des Givordins. Le travail ! Plus de pouvoir d’achat, moins de délinquance, plus de solidarité et de fraternité. Il faut vous battre pour faire venir des entreprises, le reste n’est que des coups d’épée dans l’eau. Aujourd’hui, la cheminée va peut-être être classée monument historique. Les ouvriers y tiennent. C’est sans doute qu’ils y ont de bons souvenirs, mais c’est aussi la stèle de la mort des entreprises à Givors, qui ont emmené avec elles, la joie du vivre vraiment ensemble dans le travail et la mixité sociale  qui faisait de Givors une ville ouvrière,  populaire et vivante. C’était il y a 15 ans, c’est-à-dire hier, pas si loin de nous. Vous n’avez pas su rebondir et garder les entreprises. Vous avez tué à petit feu cette ville et les habitants ne vous demandent pas l’aumône, ils veulent du travail et la sécurité.

 

Prend acte

 

 

Projet de délibération n°6

CONVENTION DE COLLABORATION PARTENARIALE RELATIVE AU CONSEIL LOCAL DE

SANTE MENTALE DE GIVORS-GRIGNY (CLSM)

 

Michelle Palandre

D’abord, je veux mettre une chose au point une bonne fois pour toutes. Je lis dans la presse et dans des tracts que je serais responsable du fait qu’un centre de santé n’ait pas vu le jour à Montgelas, parce que j’ai refusé le don des terrains à l’hôpital. Alors oui, j’assume, persiste et signe, j’ai refusé qu’on donne les terrains communaux à l’hôpital, en proposant un bail emphytéotique gratuit, ce qui a permis d’ailleurs à Montgelas de construire le nouvel hôpital et l’EHPAD. Il n’a jamais été question d’un centre de santé lors des débats sur cette délibération. C’est une pure invention de M. Passi  que vous entretenez, Mme Charnay. D’ailleurs l’ancien bâtiment de médecine est vide et  pourrait convenir à un centre de santé. Quant à la question de vouloir créer une maison de santé pour pallier au désert médical de Givors, il faut être prudent et ne pas faire n’importe quoi. Pensez à faire les choses avec les gens concernés et pas à la place ou pour.

 C’est avec  des professionnels de la santé qu’il faut en parler. Ils ont choisi des professions libérales, il faut qu’ils restent libres, et qu’ils restent maîtres de leurs locaux et de leurs patients. Mais on peut les aider à s’installer en baissant les prix des terrains ou de constructions de locaux et bien choisir l’emplacement qui doit rester central et pas dédié à un seul quartier. Ils connaissent le fonctionnement d’un centre de santé. C’est leur métier, pas le nôtre, et eux seuls pourront nous aider à trouver la bonne solution.

 

POUR

 

Projet de délibération n°7

MISE EN PLACE D’UN RÈGLEMENT DE FONCTIONNEMENT POUR LA COMMISSION

D’ADMISSION COMMUNE DES ENTRÉES EN EAJE

 

POUR

 

Projet de délibération n°8

RECONDUCTION DU DISPOSITIF CONTRAT MUNICIPAL ÉTUDIANT 2018-2019

 

 Alain Pelosato

Le texte de cette délibération est plein de mensonges.

Dès la première phrase, je lis : « Le CME a pour objet de permettre aux étudiants givordins  dont les ressources familiales sont modestes de financer une partie des frais liés à la poursuite d’études supérieures (…) »

Vous mentez, car il y a 600 étudiants à Givors (INSEE) et vous en choisissez arbitrairement 10 qui pourront bénéficier de 800 euros. 10 n’est pas la majorité de 600 ! Je dis bien que le choix c’est vous qui le faites et ce n’est pas la « grille d’évaluation » que vous fournissez qui nous fera avoir confiance en vous. Quand on a un maire condamné au tribunal correctionnel et que vous soutenez contre vents et marées, comment peut-on avoir confiance ? Cette grille d’évaluation c’est bien vous qui la remplissez, c’est vous qui avez un entretien avec les candidats et c’est vous qui choisissez les lauréats !  Seulement  1,6 % des étudiants givordins bénéficieront de cet avantage financier ! Et vous osez parler d’égalité !  Plus exactement vous écrivez « contribue à l’égalité des chances » ! C’est indécent alors que l’immense majorité des étudiants est exclue de ce dispositif.

Suite à mes requêtes au tribunal administratif (TA), vous avez un peu étoffé votre délibération par un semblant  de bilan de cette action depuis qu’elle existe. Vu le jugement du TA vous êtes également contraint de présenter à ce conseil municipal le bilan de l’activité des bénéficiaires du CME pour l’année écoulée. Comme quoi ça sert de faire des requêtes au tribunal administratif. Il faut aussi donner au conseil municipal le même tableau pour les années précédentes. Y a-t-il un rapport du chef de service sur l’activité de l’étudiant dans son service ? Il faut qu’il y en ait un, sinon ce n’est pas sérieux.  Et il faut que ces rapports soient communiqués au conseil municipal !

Le tribunal administratif a admis que cette information était nécessaire, mais il m’a débouté en prétendant que je ne l’avais pas demandée. Il est vrai que je n’ai pas pris la précaution de le prouver, et, malheureusement, aller en appel nécessite la participation d’un avocat ce que je ne peux pas me permettre financièrement. Pour moi, élu de l’opposition,  ce ne sont pas les contribuables qui paient… contrairement à vous, élus de la majorité !

En ce qui concerne la liste des bénéficiaires, le tribunal administratif m’a donné raison, il a donc annulé votre décision de ne pas me communiquer cette liste, mais, curieusement, il m’a demandé de renouveler ma demande ! Ce que j’ai fait, et ce que vous m’avez une fois de plus refusé. C’est grotesque ! J’aurais pu de nouveau traîner votre stupide refus devant le tribunal administratif. Mais la fatigue m’a gagné, et j’ai abandonné. Je cite au passage un extrait de ce jugement du tribunal administratif : « la décision litigieuse opposant un refus à ladite demande (de la liste des bénéficiaires) se trouve entachée d'une erreur de droit »

Il faut savoir que depuis 2009, les élus du Défi givordin (Michelle Palandre, Jean-Marc Bouffard et moi-même) ont déposé  41 requêtes au tribunal administratif ! C’est un travail colossal qui vous a obligés à rectifier vos graves erreurs et à remettre à l’endroit les mauvaises décisions que vous avez prises et que nous avons attaquées… Nous n’avons pas d’avocat, nous rédigeons nos requêtes avec nos petites mains. Et sur ces 41 requêtes, 33 ont abouti à vous obliger à rectifier vos graves erreurs. Ne nous reprochez pas de coûter de l’argent à la commune, car vous pouvez faire comme nous, rédiger vous-même les mémoires en défense au lieu de prendre de coûteux avocats, dont certains font partie d’un cabinet parisien qui travaille pour le parti  communiste. Vous touchez pourtant de somptueuses indemnités, sans compter les remboursements de frais, les frais de représentations et autres dépenses non justifiées, par exemple pour la formation des élus de la majorité…

Donc, si nos requêtes au tribunal administratif coûtent de l’argent à la commune, vous en êtes responsables à double titre : d’abord parce que si nous saisissons le tribunal administratif c’est que vous n’avez pas respecté la loi (et nous l’avons  démontré 33 fois ! Et il y a tant d’autres délibérations et décisions que nous aurions pu faire annuler, mais le temps nous manque !) et d’autre part, vous avez du personnel et de nombreux élus, faites donc comme nous, mettez-vous au travail et rédigez vos mémoires. Tout cela sera gratuit pour les Givordins. Mais, bien sûr, il faut que vous fassiez un effort !

 

CONTRE

 

Projet de délibération n°9

ADHÉSION A LA MISSION DE MÉDIATION PRÉALABLE OBLIGATOIRE EN MATIÈRE DE LITIGES DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE PROPOSÉE PAR LE CDG69

 

POUR

 

Projet de délibération n°10

EMPLOIS SAISONNIERS AUX ESPACES VERTS

 

Michelle Palandre

On comprend qu’il faille augmenter le personnel pendant la période estivale. J’en profite pour féliciter une fois de plus les employés des espaces verts qui réalisent un travail exceptionnel de bon goût et dans tous les quartiers.

 

POUR

 

Projet de délibération n°11

PROTECTION FONCTIONNELLE - PRISE EN CHARGE DES DÉPENSES

La maire Charnay avait demandé au conseil municipal de février 2018 d’adopter une délibération pour accorder la protection fonctionnelle à M. Passi. Or, la maire Charnay s’est aperçue que cette délibération qu’elle avait elle-même présentée est illégale ! Elle en représente alors une autre qui est encore plus illégale !

 

Michelle Palandre

Si vous le permettez, on va remettre de l’ordre parce que vous mélangez deux demandes de protection fonctionnelle de M.Passi dans la même délibération, on ne sait pas dans quel but d’ailleurs, mais ce sont les Givordins qui vont payer, alors un peu de sérieux !

Pour la première demande : en février 2018, Mme Charnay, vous n’avez pas été capable de répondre sur le montant des honoraires d’avocat. Franchement 10 000€, il y a plus compliqué comme chiffre à retenir. Vous aviez les mandats de règlements depuis plusieurs mois, soit vous connaissiez le montant et vous ne l’avez pas retenu, ce qui est déjà grave, soit vous ne vous vous y êtes pas intéressé, ce qui est pire. Toujours pour cette même demande, vous dites avoir reçu en  avril 2018 d’autres factures d’avocats pour encore 10 000€. Ce qui porte le montant total à un peu plus de 20 000€ ! Quelle surprise ! M.Passi n’a pas daigné vous en informer ? Ça prouve une fois plus qu’il se moque complètement des Givordins, puisqu’ il leur demande de payer des factures dont, soit il n’en connaissait pas l’estimation du montant à la base, soit il n’a pas eu la décence d’en informer la mairie.

Et comme pour ces dernières factures, nous n’avons pas les mandats en pièces jointes, permettez-nous de douter du montant définitif.

Pour la deuxième demande de protection fonctionnelle, objet de cette délibération, avez-vous cette fois une estimation de la facture ? Compte tenu de ce que je viens de dire pour la première demande, ce serait la moindre des choses d’informer les Givordins de ce qu’ils vont avoir à payer. Or, nous n’avons aucun montant, ni même le nom du cabinet d’avocat en charge de cette affaire.

Rappelons aussi que les Givordins vont payer la protection fonctionnelle de Mme Goux pour un montant de 7800€ en première instance, et bien sûr, nous n’avons aucune estimation du coût pour la deuxième instance, qu’ils vont payer aussi puisqu’elle a également  fait appel.

Je vous précise  que j’ai demandé l’annulation de ces deux délibérations au tribunal administratif, pour plusieurs motifs, dont entre autres, parce que certaines pièces n’étaient pas jointes. Vous avez dit dans la presse que mes arguments étaient fallacieux, mais vous avez bien pris soin cette fois d’en joindre quelques-unes.

Dernière remarque, dans cette délibération, vous dites que M.Passi a été condamné pour prise d’intérêt moral, mais comme vous le précisez dans un courrier que vous lui avez adressé, le tribunal l’a condamné pour prise illégale d’intérêt. Ce qui est aussi clairement indiqué dans le jugement qui dit : «  le délit de prise illégale d’intérêt se commet par le seul abus de fonction, indépendant de la recherche du gain… ». Donc prise d’intérêt moral, certes nous en sommes convaincus, mais pas que !

D’autre part, il a décidé de faire appel, c’est son droit, mais qu’il en assume les frais !

En résumé : Comment peut-on être sûrs que le montant du coût des avocats de la première instance est juste ?

Quelle est l’estimation du coût de la deuxième instance ? Quel est le cabinet d’avocat en charge de l’affaire ? Avez-vous reçu l’avis à victime pour la deuxième instance, pièce que vous nous aviez cachée lors de la demande de la protection fonctionnelle pour la première instance ?

Quatre  questions auxquelles vous êtes obligée de répondre si vous osez demander aux Givordins de payer à la place de M. Passi. Je pense que s’il devait  payer lui-même, il aurait les réponses.

Enfin, l’article L.242-1 du code des relations entre le public et l’administration dit : « L’administration ne peut abroger ou retirer une décision créatrice de droits de sa propre initiative ou sur la demande d’un tiers que si elle est illégale et si l’abrogation ou le retrait intervient dans un délai de quatre mois suivant la prise de cette décision. » Donc vos deux délibérations sont illégales.

 

CONTRE

 

Projet de délibération n°12

COMMUNICATIONS AU CONSEIL MUNICIPAL

Cette délibération ne donne pas lieu à un vote. Ce sont des informations communiquées par le maire au conseil municipal. Nous l’avons recopiée tel que nous l'avons reçue. Les fautes de français ne nous sont donc pas imputables.

 

En application de la délibération du 25 septembre 2017 par laquelle le conseil municipal a

délégué à madame la Maire certains pouvoirs conformément aux article L.2122-22,

L.2122-23 et R.2122-7 du code général des collectivités territoriales, madame la Maire

informe l’assemblée qu’elle a signé les actes suivants :

DOSSIER : MARCHES PUBLICS

Contrat de location du 25 janvier 2018 d’un véhicule "navette gratuite" avec

l'entreprise VISIOCOM, 31 avenue Raymond Aron – 92 160 Antony, représentée par

monsieur Jean Carozzi, visant à louer un véhicule en échange d'un droit d'exploitation

exclusif des emplacements publicitaires situées sur le véhicule, pour une durée de 3 ans à

compter de la date de livraison, et pour l'immatriculation de ce véhicule appartenant à

l'entreprise précitée. Avec la société A2S, cotraitant de la société Beylat TP, une décision

municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre du dépassement des délais

d’exécution contractuellement prévus au marché concernant les travaux de terrassement

et VRD lot n°1 pour la construction de la Maison des âges de la vie et de l’université

populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issue d’une faute du titulaire,

mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des

pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la société Beylat TP une

décision municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre du dépassement des

délais d’exécution contractuellement prévus au marché concernant les travaux de

terrassement et VRD lot n°1, pour la construction de la Maison des âges de la vie et de

l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issu d’une faute

du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur.

L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la

société SAS Charroin Toiture, mandataire, une décision municipale pour l’exonération

totale des pénalités au titre du dépassement des délais d’exécution contractuellement

prévus au marché concernant les travaux du lot charpente bois lot n°3 pour la construction

de la Maison des âges de la vie et de l’université populaire. Le dépassement des délais

d’exécution n’est pas issue d’une faute du titulaire, mais résulte d’une interruption de

chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des pénalités vaut dès le début

d’exécution des prestations. Avec la société PMDP, cotraitant de la société Charroin

toitures, une décision municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre du

dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au marché concernant les

travaux du lot charpente bois lot n°3, pour la construction de la Maison des âges de la vie

et de l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issue d’une

faute du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur.

L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la

société Thivillon Michel SA, cotraitant de la société Charroin toitures, une décision

municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre du dépassement des délais

d’exécution contractuellement prévus au marché concernant les travaux du lot charpente

bois lot n°3, pour la construction de la Maison des âges de la vie et de l’université

populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issue d’une faute du titulaire,

mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des

pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec a société APC Etanch

Grand Lyon une décision municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre du

dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au marché concernant les

travaux d’étanchéité lot n°4, pour la construction de la Maison des âges de la vie et de

l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issu d’une faute

du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur.

L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la

société CMA concept une décision municipale pour l’exonération totale des pénalités au

titre du dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au marché

concernant les travaux de métallerie lot n°5, pour la construction de la Maison des âges

de la vie et de l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issu

d’une faute du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur.

L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la

société Menuiserie du Forez une décision municipale pour l’exonération totale des

pénalités au titre du dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au

marché concernant les travaux de menuiseries intérieures bois lot n°6, pour la

construction de la Maison des âges de la vie et de l’université populaire. Le dépassement

des délais d’exécution n’est pas issu d’une faute du titulaire, mais résulte d’une interruption

de chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des pénalités vaut dès le début

d’exécution des prestations. Avec la société Naxo une décision municipale pour

l’exonération totale des pénalités au titre du dépassement des délais d’exécution

contractuellement prévus au marché concernant les travaux de cloisons, doublages lot

n°7, pour la construction de la Maison des âges de la vie et de l’université populaire. Le

dépassement des délais d’exécution n’est pas issu d’une faute du titulaire, mais résulte

d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des pénalités vaut

dès le début d’exécution des prestations. Avec la société Beylat TP une décision

municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre du dépassement des délais

d’exécution contractuellement prévus au marché concernant les travaux de terrassement

et VRD lot n°1, pour la construction de la Maison des âges de la vie et de l’université

populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issue d’une faute du titulaire,

mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des

pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la société A2S, cotraitant

de la société Beylat TP, une décision municipale pour l’exonération totale des pénalités au

titre du dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au marché

concernant les travaux de terrassement et VRD lot n°1, pour la construction de la Maison

des âges de la vie et de l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution

n’est pas issue d’une faute du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du

pouvoir adjudicateur. L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des

prestations. Avec la société SAS Charroin Toiture, mandataire, une décision

municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre du dépassement des délais

d’exécution contractuellement prévus au marché concernant les travaux du lot charpente

bois lot n°3, pour la construction de la Maison des âges de la vie et de l’université

populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issue d’une faute du titulaire,

mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des

pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la société PMDP, cotraitant

de la société Charroin toitures une décision municipale pour l’exonération totale des

pénalités au titre du dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au

marché concernant les travaux du lot n°3 charpente bois, pour la construction de la

Maison des âges de la vie et de l’université populaire. Le dépassement des délais

d’exécution n’est pas issue d’une faute du titulaire, mais résulte d’une interruption de

chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des pénalités vaut dès le début

d’exécution des prestations. Avec la société Thivillon Michel SA, cotraitant de la société

Charroin toitures, une décision municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre

du dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au marché concernant

les travaux du lot n°3 charpente bois pour la construction de la Maison des âges de la vie

et de l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issue d’une

faute du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur.

L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la

société Espace, une décision municipale pour l’exonération totale des pénalités au titre

du dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au marché concernant

les travaux de mobilier lot n°9, pour la construction de la Maison des âges de la vie et de

l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issu d’une faute

du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur.

L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la

société GED Rhône Alpes une décision municipale pour l’exonération totale des

pénalités au titre du dépassement des délais d’exécution contractuellement prévus au

marché concernant les travaux d’électricité, courant fort, courant faible lot n°10, pour la

construction de la Maison des âges de la vie et de l’université populaire. Le dépassement

des délais d’exécution n’est pas issu d’une faute du titulaire, mais résulte d’une interruption

de chantier du pouvoir adjudicateur. L’exonération des pénalités vaut dès le début

d’exécution des prestations. Avec la société Martin Frédéric une décision municipale

pour l’exonération totale des pénalités au titre du dépassement des délais d’exécution

contractuellement prévus au marché concernant les travaux de chauffage, ventilation,

climatisation, plomberie, sanitaires, pour la construction de la Maison des âges de la vie et

de l’université populaire. Le dépassement des délais d’exécution n’est pas issu d’une

faute du titulaire, mais résulte d’une interruption de chantier du pouvoir adjudicateur.

L’exonération des pénalités vaut dès le début d’exécution des prestations. Avec la

société Lucioles pour signer un accord – cadre pour la fourniture de livres non scolaires

en fictions adultes lot n°1 de la médiathèque Max – Pol Fouchet, pour un montant

maximum de 20 000.00 euros H.T., et pour une durée de deux ans à compter de sa

notification. Avec la société Decitre pour signer un accord – cadre pour la fourniture de

livres non scolaires en fictions jeunesses de la médiathèque Max – Pol Fouchet lot n°2,

pour un montant maximum de 20 000.00 euros H.T., et pour une durée de deux ans à

compter de sa notification. Avec la société Murmure des Mots pour signer un accord –

cadre pour la fourniture de livres non scolaires en fictions ado. de la médiathèque Max –

Pol Fouchet lot n°3, pour un montant maximum de 3000.00 euros H.T., et pour une durée

de deux ans à compter de sa notification. Avec la société Bulles de Vienne pour signer

un accord – cadre pour la fourniture de livres non scolaires en B.D. adultes de la

médiathèque Max – Pol Fouchet lot n°4, pour un montant maximum de 5000.00 euros

H.T., et pour une durée de deux ans à compter de sa notification. Avec la société Bulles

de Vienne pour signer un accord – cadre pour la fourniture de livres non scolaires en B.D.

jeunesse de la médiathèque Max – Pol Fouchet lot n°5, pour un montant maximum de

6000.00 euros H.T., et pour une durée de deux ans à compter de sa notification. Avec la

société Decitre pour signer un accord – cadre pour la fourniture de livres non scolaires

en documentaires adultes de la médiathèque Max – Pol Fouchet lot n°6, pour un montant

maximum de 10 000.00 euros H.T., et pour une durée de deux ans à compter de sa

notification. Avec la société Decitre pour signer un accord – cadre pour la fourniture de

livres non scolaires en documentaires jeunesse de la médiathèque Max – Pol Fouchet lot

n°7, pour un montant maximum de 6000.00 euros H.T., et pour une durée de deux ans à

compter de sa notification. Avec la société Public Imprim pour signer un accord cadre

concernant l’impression du journal municipal et de divers supports de communication,

pour un montant maximum de 208 000 € hors taxes, pour une durée de deux ans à

compter de sa notification. Avec la société Pividal signer un accord cadre concernant les

travaux de courant faible lot n°3, pour un montant maximum annuel de 100 000 € hors

taxes, et ce pour une durée d’une année reconductible trois fois. Avec la société Pividal

pour signer un accord cadre concernant les travaux de courant faible lot n°4, pour un

montant maximum annuel de 100 000 € hors taxes, et ce pour une durée d’une année

reconductible trois fois. Avec la société Naxo pour un avenant au marché concernant les

travaux de construction de la maison des âges de la vie et de l’université populaire, lot

n°7, pour une plus-value de 2 429.20 euros hors taxes, ce qui porte le montant total du

marché à 65 177.22 euros hors taxes soit un montant toutes taxes comprises de

78 140.66 euros. Avec la société GED pour signer un avenant au marché concernant les

travaux de construction de la maison des âges de la vie et de l’université populaire, lot

10 électricité courant fort courant faible, pour une plus-value de 653.48 euros hors

taxes, ce qui porte le montant total du marché à 114 428.85 euros hors taxes soit un

montant toutes taxes comprises de 137 314.62 euros. Avec la société Access

Démolition pour signer un marché public pour les travaux de désamiantage, démolition

dans le cadre de la construction du groupe scolaire Freydière – Gare, lot n°3, conclu pour

un montant de 70 701.62 euros H.T. Avec la société Traynard BTP pour signer un

marché public pour les travaux de gros oeuvre dans le cadre de la construction du groupe

scolaire Freydière – Gare, lot n°4, conclu pour un montant de 620 000.00 euros H.T. Avec

la société Vaganay pour signer un marché public pour les travaux de charpente,

structure bois, bardage, dans le cadre de la construction du groupe scolaire Freydière

Gare, lot n°5, conclu pour un montant de 855 000.00 euros H.T. Avec la société France

Etanche pour signer un marché public pour les travaux d’étanchéité, dans le cadre de la

construction du groupe scolaire Freydière – Gare, lot n°6, conclu pour un montant de 65

000.00 euros H.T. Avec la société C.B.M.A. pour signer un marché public pour les

travaux de menuiseries extérieures bois, occultations, dans le cadre de la construction du

groupe scolaire Freydière – Gare, lot n°7, conclu pour un montant de 207 777.03 euros

H.T. Avec la société Pepier Charrel pour signer un marché public pour les travaux de

plâtrerie, faux plafond, dans le cadre de la construction du groupe scolaire Freydière

Gare, lot n°10, conclu pour un montant de 217 427.25 euros H.T. Avec la société

Topeinture pour signer un marché public pour les travaux de peinture, nettoyage, dans le

cadre de la construction du groupe scolaire Freydière – Gare, lot n°11, conclu pour un

montant de 49 600.00 euros H.T. Avec la société Rhonibat pour signer un marché public

pour les travaux de revêtement de sol souple dans le cadre de la construction du groupe

scolaire Freydière – Gare, lot n°12, conclu pour un montant de 67 011.17 euros H.T. Avec

la société Siaux pour signer un marché public pour les travaux de carrelage, faïence

dans le cadre de la construction du groupe scolaire Freydière – Gare, lot n°13, conclu

pour un montant de 115 311.37 euros H.T. Avec la société Martin Frédéric pour signer

un marché public pour les travaux de chauffage, ventilation, plomberie dans le cadre de la

construction du groupe scolaire Freydière – Gare, lot n°15, conclu pour un montant de

469 530.30 euros H.T. Avec la société Pividal pour signer un marché public pour les

travaux d’électricité dans le cadre de la construction du groupe scolaire Freydière – Gare,

lot n°16, conclu pour un montant de 245 597.14 euros H.T. Avec la société Cuny

professionnel pour signer un marché public pour les travaux de cuisine, dans le cadre de

la construction du groupe scolaire Freydière – Gare, lot n°17, conclu pour un montant de

76 140.00 euros H.T.

DOSSIER : REGIES

Arrêté du 4 mai 2018 portant création d’une régie de recettes liées aux activités de la

Direction évènementiel et vie associative afin d’autoriser l’encaissement des produits des

activités et objets proposés lors des évènements festifs à destination de la population

givordine. Arrêté du 6 octobre 2017 portant modification d’une régie de recettes liées

au fonctionnement du conservatoire municipal créée par arrêté du 10 janvier 2006 et

modifiée par arrêté 2017-03 du 6 octobre 2017, afin d’autoriser l’encaissement des

produits par virement.

DOSSIER : MISE A DISPOSITION D’UN LOGEMENT COMMUNAL

Contrat de location /bail d’un logement de 69 m² pour une durée d’un an, à compter

du 04/04/2018 au 03/04/2019, situé 1 avenue Anatole France 69700 Givors pour un loyer

de 348,11 euros par mois.

 

Givors, le  juin 2018

 

Les commentaires en italique sont de la rédaction.