CONSEIL MUNICIPAL

Lundi 17 octobre 2016 à 18 h

 

Michelle Palandre

À propos de l’assurance des tablettes mises à disposition des élus du conseil municipal.

Est-ce que la mairie a souscrit un contrat d'assurance pour ce qu'on peut considérer comme un parc informatique, ou est-ce que chacun est responsable de sa tablette. Dans ce cas-là que se passe-t-il si la personne à qui elle est confiée la casse ?

 

délibération n°1

ÉLECTION D’UN ADJOINT AU MAIRE SUITE A DÉMISSION

VOTE BLANC

 

délibération n°2

REPRÉSENTANTS DU CONSEIL MUNICIPAL AUX CONSEILS D’ADMINISTRATION DES LYCEES ARAGON ET CASANOVA – MODIFICATION SUITE A DÉMISSION D’UNE CONSEILLÈRE MUNICIPALE

VOTE BLANC

 

délibération n°3

DÉSIGNATION DE REPRÉSENTANTS DU CONSEIL MUNICIPAL AU SEIN DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA SAGIM SUITE A LA DÉMISSION DE DEUX CONSEILLERS MUNICIPAUX

VOTE BLANC

 

délibération n°4

DÉSIGNATION D’UN REPRÉSENTANT DU CONSEIL MUNICIPAL AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE LA MIFIVA SUITE A LA DÉMISSION

D’UNE CONSEILLÈRE MUNICIPALE

VOTE BLANC

 

délibération n°5

ÉLECTION D’UN REPRÉSENTANT DU CONSEIL MUNICIPAL AU SYNDICAT

INTERCOMMUNAL POUR LES VACANCES ET LES LOISIRS (SIVAL)

SUITE A LA DÉMISSION D’UNE CONSEILLÈRE MUNICIPALE

VOTE BLANC

 

délibération n°6

DÉSIGNATION D’UN REPRÉSENTANT DU CONSEIL MUNICIPAL AU CONSEIL D’ORIENTATION DE LA MAISON DE RETRAITE SAINT-VINCENT SUITE

A LA DÉMISSION D’UNE CONSEILLÈRE MUNICIPALE

VOTE BLANC

 

délibération n°7

ZAC VMC : APPROBATION DU COMPTE RENDU ANNUEL

A LA COLLECTIVITÉ LOCALE 2015

La gestion de cette ZAC (où se trouve le pôle automobile) a été confiée à la société d’économie mixte de la ville, Codegi à l’époque, ensuite, Givors développement et désormais SAGIM. Quand on change de nom aussi souvent c’est qu’on a une mauvaise réputation à cacher !

 

Michelle Palandre

Lors du conseil municipal du 11 avril 2016, je vous avais demandé de rectifier le montant de la participation de la commune en 2017, en fixant ce montant à 367 071€. À cet effet, je suis satisfaite que vous ayez corrigé vos erreurs  puisque c’est ce montant que l’on retrouve aujourd’hui  dans le CRACL. Par contre, si tous les projets annoncés vont au bout, nous pouvons espérer que la convention d’aménagement sera clôturée assez rapidement, c’est-à-dire à peu près en 2019. Or, il est fait état dans cette convention d’un règlement complémentaire forfaitaire annuel pour les quatre premières années d’exploitation, basé sur les résultats d’exploitation du cinéma. Sachant qu’il pourrait être terminé en 2018, les quatre années nous amènent à 2022. Vous ne parlez pas d’une convention entre le cinéma et la commune pour le versement de ce règlement complémentaire,  donc il serait bon d’anticiper , de le formaliser avant la clôture de la convention pour que tout soit clair.

Pour continuer sur le bilan prévisionnel : 60 000 euros sont prévus pour l’aménagement « de voirie et réseaux divers » En commission il a été précisé que ce montant pouvait être utile pour rénover les voiries vieillissantes, au bout de dix ans seulement on peut s’étonner qu’il y ait déjà des problèmes de voiries ! Mais  quand  on se souvient qu’elles ont été réalisées avant un compactage dynamique de tout le terrain suite à une mauvaise estimation de l’état de pollution, du coup on s’en étonne moins d’autant plus qu’à l’époque  on vous avait prévenu. Malheureusement, ça fait partie des erreurs qui ont été faites sur cette ZAC et le manque d’anticipation .

40 000 EUROS sont également inscrits dans les « aléas et imprévus » : Pour cela, on nous a expliqué qu’il pouvait s’agir de sécuriser les chantiers encours si les gens du voyage revenaient. Ce n’est plus à nous de protéger ces chantiers des investisseurs, c’est à eux de le faire.

Pour finir, je reste persuadée qu’il n’y a pas assez de places de parking prévues pour le cinéma, ce qui va encore poser des problèmes à moyen ou long terme, donc encore un manque d’anticipation  , et je conteste ce qui est inscrit dans le CRACL, à savoir que le parking de rue des Gagnoles ne sert pas à faire une liaison entre la ZAC et le centre-ville, parce qu’il n’est pas accessible à tous  types de véhicules, pour ne pas dire qu’à un seul type de véhicule c’est-à-dire les petits gabarits. D’ailleurs on constate qu’il est toujours vide.

Par contre, je regrette qu’il n’y ait pas d’autre liaison entre le centre-ville et la ZAC.

CONTRE

 

délibération n°8

RELATIONS INTERNATIONALES ATTRIBUTION D’UNE BOURSE AUX ÉLÈVES DU SECONDAIRE DOMICILIES A GIVORS

Bourse pour participer au financement des voyages à l’étranger des élèves givordins du secondaire.

POUR

 

délibération n°9

SIGNATURE D’UN AVENANT TECHNIQUE A LA CONVENTION DE RÉNOVATION

URBAINE DE GIVORS – CONTREPARTIES AFL

Il s’agit, une fois de plus, de tenter de convaincre un promoteur de construire des logements aux Vernes.

 

Michelle Palandre

Cet avenant technique confirme qu’il est difficile de prévoir 20 logements en accession à la propriété aux Vernes. L’association Foncière Logement  n’est plus intéressée par ce projet.  Il ne faut pas se voiler la face, personne ne voudra acheter un appartement aux Vernes. Souvenons-nous  que ce terrain est disponible depuis 40 ans et  que personne n’a voulu y investir…  Arrêtons de perdre notre temps et soyons sérieux ! L’accession à la propriété n’aboutira pas, peut-on réfléchir à une autre alternative  et pour une fois faire preuve de vision et d’anticipation ?

ABSTENTION

 

délibération n°10

ADOPTION DU RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA COMMISSION D’APPEL D’OFFRES

DE GIVORS

 

Alain Pelosato

1)    Pourquoi n’a-t-on pas donné aux élus ce projet de règlement intérieur pour les commissions ?

2)    Qui a rédigé ce projet, j’imagine que les services de l’Etat fournissent un modèle ?

3)    Il eût été poli et responsable de rappeler au conseil municipal la composition de la commission d’appel d’offres, et ceci, également avant la commission, surtout avant le conseil, d’autant plus que ce dossier n’est pas passé en commission…

ABSTENTION

 

délibération n°11

DÉCLASSEMENT D’UNE EMPRISE FONCIÈRE DE 88 M² CONSTITUTIVE DU DOMAINE PUBLIC COMMUNAL SUR LE QUARTIER DES PLAINES

Cette délibération et les deux suivantes concernent le quartier Yves Farges.

POUR

 

délibération n°12

CESSION D’UNE EMPRISE FONCIÈRE DE 88 M² A LYON METROPOLE HABITAT

 

Michelle Palandre

Au niveau de la propreté, en tout cas, il est temps qu'on fasse quelque chose pour ce quartier. En effet beaucoup de riverains se plaignent de la saleté et du laissé aller de l'entretien qui rend ce quartier insalubre. J’espère que cela encouragera les gens à respecter l'environnement et que vous ferez également le nécessaire pour que ce quartier reste propre les arrières des bâtiments, notamment.

POUR

 

délibération n°13

CESSION AMIABLE DE DOMAINE PUBLIC A DOMAINE PUBLIC ENTRE LA VILLE DE GIVORS ET LA MÉTROPOLE DE LYON DANS LE CADRE DE L’OPÉRATION DE REQUALIFICATION DE LA RUE YVES FARGE

ET DE L’AVENUE DANIELLE CASANOVA

 

POUR

 

délibération n°14

EXPROPRIATION DE LA PARCELLE AL492 DANS LE CADRE DE LAREQUALIFICATION DE L’A47 ACTE DE CESSION À LYON METROPOLE HABITAT

Une grave erreur à réparer : une fois de plus !  Et qui est président de Lyon Métropole Habitat ? M. Passi bien sûr !

Michelle Palandre

On a bien compris qu’il y avait encore eu une erreur de transmission de propriété, on est bien d’accord, mais si Lyon Métropole Habitat était honnête, il nous donnerait 8950 euros, prix du terrain estimé par France domaine et on n'en parle plus ! Je ne vois pas pourquoi faire cette soupe alors que l’affaire est si simple. Le terrain appartient à la commune, il y a eu une erreur faite par L’OPAC et non par la commune, je ne vois pas où est le problème.

En commission on m’a expliqué que la commune ne voulait pas faire perdre du temps au projet  en « attaquant » cette vente. Je le répète,  si Lyon Métropole Habitat était honnête on n’aurait pas besoin d’attaquer. C’est d’une logique rare !

D’autre part, nous n’avons pas connaissance des termes du bail emphytéotique entre la Mairie et la Codegi puisqu’il n’a pas été fourni à cette délibération, pas plus que l’acte d’autorisation de vente de l’OPAC à l’État et d’un engagement écrit du président de Lyon Métropole Habitat pour rembourser la commune. Je ne vois pas comment on peut donner un quelconque accord sans ces pièces.

CONTRE

Documents à fournir :

Bail emphytéotique entre la mairie et la CODEGI

Acte de vente entre l’État et l’OPAC

Un engagement écrit du président de Lyon Métropole Habitat pour rembourser la commune

 

délibération n°15

NOUVEAU PROGRAMME NATIONAL DE RENOUVELLEMENT URBAIN (NPNRU) - PROTOCOLE DE PRÉFIGURATION DES PROJETS DE RENOUVELLEMENT URBAIN

Toujours la même « usine à gaz » pour dépenser des millions d’euros pour rien, et cela dure depuis presque trente ans !

Michelle Palandre

Nous avons une délibération très longue de trois pages, et une pièce jointe représentée par un document d'une centaine de pages. Pour en débattre en commission, j'ai pris la peine de tout lire et de tout étudier, ce qui me paraît normal, et c'est la moindre des choses  de porter intérêt à ce que vous nous présentez. Malheureusement, lors de la commission, j'ai remarqué que tout le monde n'avait pas pris cette peine. Pourquoi je dis ça : il y a dans le document une conclusion de décision du comité de pilotage (signé par les préfets, le vice-président de la Métropole et le conseiller délégué de la politique de la ville) qui précise que les études demandées pour Givors ne sont pas retenues par le comité. Personne ne l'avait remarqué ! Seul le directeur des services techniques m'a répondu et m'a assuré qu'il y avait eu d'autres discussions depuis, et que les études étaient retenues. Le document l'attestant n'était pas joint, la moindre des choses aurait été qu'il soit fourni en commission.

En ce qui concerne les projets, sur le tableau de financement il y avait également une confusion entre les quartiers retenus : il est marqué Givors les Vernes plus les Plaines ou Centre-ville. Là encore, le directeur des services techniques m'a dit qu'il s'agissait d'une coquille qu'il n'avait pas remarquée (!) sinon il aurait demandé à la métropole de la corriger. J'ai donc eu l'impression que ce document n'avait pas retenu l'attention de grand monde. Ça devient pénible de constater que nous sommes toujours obligés de corriger les pièces, ce qui, vous en conviendrez, n'est pas notre travail...

Cela dit, quant au contenu de ce rapport, nous remarquons que les projets restent superficiels, et je m'interroge sur la méthode du fonctionnement général de l'ANRU... en tout cas pour ce qui concerne Givors.

Autrefois, on installait des usines, ensuite on construisait des logements pour y installer le personnel,  ensuite on traçait les rues, on faisait des trottoirs, voire des bacs à fleurs ou à poubelles, et de l'éclairage public.

Aujourd'hui on commence par la fin, on éteint les lumières on met les bacs à fleurs, ensuite on rénove les trottoirs, les rues et, pour finir on construit des logements, mais on n'installe plus d'usines et d'entreprises. Conclusion, nous avons une ville dortoir, où personne n'y travaille, n'y vit, n'y consomme...

Prenons l’exemple de la place de la liberté, la place Pasteur, pire encore, la rue Longarini ou la rue Salengro, toutes les voiries sont refaites, et autour, RIEN, à part faire crever les commerces à cause des travaux. Idem pour les Vernes, où même les services publics ne sont pas respectés. Pour finir, les projets immobiliers traînent en longueur, l’îlot Salengro attend ses immeubles depuis plusieurs mois, voire des années, avec un parking inexistant alors qu'il y a un terrain vague fermé, certes bucolique l'été et très boueux en hiver, pour rien.

Le projet pour l'îlot Oussekine on en parle depuis des dizaines d'années, sans résultat, à part peut-être le stade synthétique, qui, en plus d'être d'une laideur rare, ne fait pas l'unanimité, loin s'en faut, de tous les riverains.

Voilà !

La ville crève, les commerces vivotent quand ils s'en sortent, le marché se paupérise de mois en mois et l'insécurité et la malpropreté sont à la une de tous les médias.

La preuve que nous sommes dans une ville dortoir est que toutes les entrées d'autoroute sont bouchées tous les jours, la gare est saturée et ses parkings sont engorgés...

Je sais bien que l'ANRU, comme son nom l'indique, joue son rôle sur le plan urbain, le problème est que je me demande comment ils ne se découragent pas de mettre autant de millions pour si peu de résultats.

Je lis pourtant dans la délibération : « Le contrat de ville (…) est construit sur trois piliers, à savoir, 1) des territoires ressources, le développement économique et l'emploi au service des quartiers et des habitants, 2) des territoires humains : œuvrer en faveur de la cohésion, 3) des territoires attractifs, le Nouveau Programme National de Renouvellement urbain. » Or à Givors on ne voit que le troisième point, les deux premiers sont inexistants !

À un moment, ne vous disent-ils pas : « On veut bien mettre des millions, mais il faudrait vous bouger pour faire venir des entreprises. » Moi, je serais le patron de l'ANRU, j'exigerais une contrepartie d'action de développement économique !

Ce que je lis dans le préambule du document est anxiogène et ne trace pas un  avenir tiré par le haut. Il y a une expression qui dit : « quand la marchandise s'avarie, il faut soigner l'emballage », c'est exactement ce que vous faites, ces projets sont un cache-misère, tout n'est qu'artifice et sans fondation réelle.

ABSTENTION

 

délibération n°16

RECONDUCTION DU DISPOSITIF « CONTRAT MUNICIPAL ÉTUDIANT »

2016-2017 MODIFICATION

Alain Pelosato 

12 dossiers de demande viable ont été déposés, sur 900 étudiants recensés à Givors !.  Donc la subvention de la région n’aurait pas servi à grand-chose.

On nous a expliqué à la commission qu’énormément de communication a été faite pour attirer le client, sans succès visiblement. Le coût de cette communication doit approcher le coût total des bourses…  On voit bien que ce dispositif n’est pas attractif !

ABSTENTION

 

délibération n°17

RAPPORT D’ACTIVITÉ 2015 DU PARC NATUREL RÉGIONAL DU PILAT

Cette délibération ne donne pas lieu à un vote

 

délibération n°18

ASSURANCE CONTRE LES RISQUES FINANCIERS LIES AU RÉGIME DE PROTECTION SOCIALE DU PERSONNEL ET CONVENTION DE GESTION ADMINISTRATIVE AVEC LE CDG69

 

ABSTENTION

 

délibération n°19

ORGANISATION DES ASTREINTES AU SEIN DES SERVICES MUNICIPAUX

 

Alain Pelosato

Je ne comprends pas que cette délibération soit présentée au conseil municipal. La gestion du personnel est une compétence exclusive du maire et de lui seul. Alors, pourquoi présenter une telle délibération ? Pourquoi le maire ne prend-il pas ses responsabilités ?

POUR

 

délibération n°20

CONVENTION RELATIVE À UNE MISSION D’ASSISTANCE SUR LES DOSSIERS DE RETRAITE CNRACL PAR LE CENTRE DE GESTION DU RHÔNE ET DE LA METROPOLE DE LYON

 

Alain Pelosato

C’est très bien cette convention !

Ce serait bien que le Conseil soit saisi pour des conventions avec d’autres services extérieurs, par exemple, pour les marchés avec les cabinets d’avocats, et autres…

Ainsi j’ai dénombré sur le compte administratif 2015 des « frais d’actes et de contentieux », il s’agit du compte 6227, la somme de 56 481,48 euros, répartie par fonction de la manière suivante :

Services généraux : 47 056 euros

Sécurité et salubrité publique : 1 271 euros

Services urbains : 8 154,48 euros

Cela représente X points d’augmentation sur le taux de la taxe d’habitation.

Pour les autres années (en euros) :

2014 : 61648 + 1558 + 3755 = 66961

2013 : 68815 + 2760 + 0 = 71575

2012 : 74848 + 2720 + 15260 = 92828

Je reviendrai sur cette question après la dernière délibération concernant les communications au conseil municipal.

 

POUR

 

Délibération n°21

TABLEAU DES EFFECTIFS-MODIFICATIONS

 

ABSTENTION

 

CESSION DES PARCELLES AD113 ET AD14 À LA RÉGION AUVERGNE-RHÔNE-ALPES

 

ABSTENTION

 

délibération n°22

COMMUNICATIONS AU CONSEIL MUNICIPAL

Ce point est une simple information au conseil, il ne donne pas lieu à un vote.

Alain Pelosato

M. le Maire, je constate que vous avez signé pour 206 000 euros de prestations juridiques auprès de cabinets d’avocats (dont certains sont basés à Paris) sous la forme de marché à bons de commande. Or, je viens de calculer, comme je l’ai dit tout à l’heure que les dépenses de la commune dans ce domaine sont en moyenne de 72 000 euros par an pour les dernières années, ce qui est déjà énorme! Une fois de plus, si vous signez ces marchés ce sont les sommes indiquées dans ces marchés (soit 206 000 euros) qui vont être budgétisées et qui vont donc participer au calcul des impôts des Givordins!  En 2015, la Taxe d’habitation a apporté 3 245 351 euros. Ces 206 000 euros de dépenses d’avocat équivalent à 1,2 point sur le taux de la taxe d’habitation.

 

Voici les marchés signés par le maire :

RAPPORTEUR : M. PASSI

En application de la délibération du 22 avril 2014 par laquelle le conseil municipal a délégué  à  monsieur  le  maire  certains  pouvoirs  conformément  aux  articles  L  2122.22,

L.2122.23 et R. 2122.7 du Code Général des Collectivités Territoriales, monsieur le maire informe l’assemblée qu’il a signé les actes suivants :

DOSSIER : MARCHE

Avec la société LAQUET SAS, pour la réalisation d’un terrain multisports, avenant au marché concernant la réalisation d’un mini terrain multisports, passé selon la procédure adaptée en vertu de l’article 28-1 du code des marchés publics, pour des travaux supplémentaires à hauteur de 1 580,00 euros hors taxes ce qui porte le montant total du marché à 92 744,50 euros hors taxes. Acceptation du sous-traitant AZ MARQUAGE présenté par la société Roger Martin Lyon pour des travaux de voirie de proximité, pour un montant maximum de 500 euros hors taxes. Avec la société SERVE CCBE SAS, pour des travaux de rénovation du groupe scolaire Jacques Duclos lot n°1 étanchéité, marché passé selon le procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant de 132 521,75 euros. Acceptation du sous-traitant GOLDEN ETANCHEITE présenté par la société Dumont-Serve CCBE pour des travaux de rénovation du groupe scolaire Jacques Duclos, lot n°1 étanchéité, pour un montant maximum de 30 350,50 euros hors taxes. Acceptation du sous-traitant VALVERT présenté par la société Dumont-Serve CCBE pour des travaux de rénovation du groupe scolaire Jacques Duclos, lot n°1 étanchéité, pour un montant maximum de 14 875 euros hors taxes.  Avec  la société COMPTOIR DES REVETEMENTS, pour des travaux de rénovation du groupe scolaire Jacques Duclos lot n°2 façade – isolation thermique par l’extérieur, passé selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant de 222 510 euros hors taxes. Acceptation du sous-traitant QUALITE CONSTRUCTION, présenté par la société SAS Qualité construction pour des travaux de rénovation du  groupe scolaire Jacques Duclos lot n°2, pour un montant maximum de 30 000 euros hors taxes. Avec la société MARTIN G, pour des travaux de rénovation du groupe scolaire Jacques Duclos lot n°3 serrurerie, passé selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant de 30 524,30 euros hors taxes. Avec le cabinet RICHER, pour un accord cadre de prestations juridiques - conseil d’assistance, représentation juridique lot 1 : urbanisme et aménagement, accord cadre à bons de commande selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant maximum de 40 000 euros. Avec le cabinet RICHER, pour un accord cadre de prestations juridiques - conseil d’assistance, représentation juridique lot 2 : commande publique, accord cadre à bons de commande selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant maximum de 45 000 euros. Avec le groupement VEDESI (mandataire) et ALVAREZ AVOCAT, pour un accord cadre de prestations juridiques - conseil d’assistance, représentation juridique lot n°3 : droit de la fonction publique territoriale, accord cadre à bons de commande selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant maximum de 50 000 euros. Avec le cabinet VEDESI, pour un accord cadre de prestations juridiques - conseil d’assistance, représentation juridique lot n°4 : droit public général, accord cadre à bons de commande selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant maximum de 30 000 euros hors taxes. Avec le cabinet CLAISSE ET ASSOCIES, pour un accord cadre de prestations juridiques - conseil d’assistance, représentation juridique lot n°5 : droit privé, accord cadre

à bons de commande selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant maximum de 25 000 euros hors taxes. Avec le cabinet LLC, pour un accord cadre de prestations juridiques - conseil d’assistance, représentation juridique lot n°6 : conseil à la population, accord cadre à bons de commande selon la procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant maximum de 16 000 euros hors taxes. Avec la société CARS FAURE, pour un accord cadre de transport de personnes pour les activités municipales - lot n°1 transports internes à Givors, accord cadre à bons de commande passé selon la procédure adaptée en vertu de  l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant minimum de 25 000 euros  hors taxes et un montant maximum de 130 000 euros. Avec la société CARS FAURE, pour un accord cadre de transport de personnes pour les activités municipales - lot n°2 transports externes à Givors, accord cadre à bons de commande passé selon la  procédure adaptée en vertu de l’article 27 du décret du 25 mars 2016, pour un montant minimum de 8000 euros hors taxes et un montant maximum de 75 000 euros hors taxes. Acceptation du sous-traitant LYON ÉCHAFAUDAGE, présenté par la société Roger Martin, pour des travaux complémentaires de désamiantage et déconstruction de la MJC, pour un montant maximum de 16 650 euros hors taxes.

 

Givors, le lundi 17 octobre 2016

Les textes en italique sont de la rédaction.