Assemblée générale de l’association du défi givordin

le 05.03.2012 

Intervention de Michelle Palandre, présidente du groupe d’opposition au Conseil municipal

 

Bref aperçu de l’activité des élus du groupe le Défi givordin au conseil municipal de Givors  pour l’année 2011.

 

Même si le Défi Givordin reste un journal et un site ouverts  à toute personne qui souhaite exprimer  son  opposition  à la majorité municipale, nous sommes très heureux, nous élus, de pouvoir communiquer  l’ensemble de notre travail à travers ses deux supports qui sont, il faut bien le dire, les seuls qui nous permettent de le faire, car ce n’est pas grâce aux  quelques lignes dans le magazine « Vivre à Givors » et les quelques articles un peu édulcorés que fait paraitre le progrès, que nous pourrions le faire.

Nous remercions très sincèrement tous les membres du bureau qui font un gros travail, que ce soit dans le montage du journal, l’animation du site, et le tractage.  D’ailleurs pour le tractage, nous en profitons également pour remercier  tous ceux qui se sont joints à nous pour tracter. Le travail est énorme.

Un grand merci également aux adhérents ou aux généreux donateurs qui permettent à notre association de vivre financièrement.

Cette année 2011, nous n’avons pu sortir qu’un seul  numéro. En effet, le Numéro de novembre a été annulé car les élections des  législatives  étant proches, nous avons fait le choix de ne pas encombrer Georges Fenech dans sa campagne. Ce  qui nous a demandé un gros sacrifice car l’année a été riche en évènements et nous nous sommes contentés de les relater sur le site. Nous touchons évidemment bien moins de personnes puisque 5000 défis sont tractés et nous n’avons évidemment pas 5000 adresses mail. Mais nous nous rattraperons quand les élections seront terminées.

 

En ce qui concerne notre travail, je vais vous citer les grandes lignes de l’année 2011,je vais essayer de faire court, car vous pouvez trouver tous les détails des dossiers sur notre site defigivordin.info 

 

GESTION :

 

Les impôts : le maire a annoncé en janvier 2011 une baisse du taux des impôts locaux. C’est un leurre, car ce qu’il n’a pas dit, c’est qu’il avait décidé de fiscaliser les syndicats intercommunaux et  sur votre feuille de taxe d’habitation, par exemple, vous avez pu découvrir une nouvelle colonne consacrée aux syndicats intercommunaux .Résultat, la baisse du taux communal a été compensée par le taux des syndicats intercommunaux, d’où aucune baisse. Plutôt une hausse due à la taxe des ordures ménagères que les Givordins payent en plus au Grand Lyon depuis 2007 (foncier bâti)

 

Le compte administratif : Il présente un excédent de 8 Millions d’euros, qui représente exactement le montant des impôts prélevés aux Givordins. Preuve du manque  de  sincérité avec lequel  le budget primitif a été calculé.

 

SOCIAL :

 

Un pôle petit enfance au dernier étage d’un immeuble. Est-ce le meilleur choix, nous ne le pensons pas. Des tractations financières un peu légères ont été faites  pour ce projet entre Givors développement et la commune. La commune vend le terrain à moitié prix à Givors Développement et Givors Développement revend l’immeuble qu’il a construit à la commune plein but. Une bonne façon de remplir les caisses de GD avec l’argent des contribuables. MONTANT : 2.100 000€ TTC

 

Le contrat municipal étudiant : Au départ 7000€ pour 7 étudiants. Nous, ça nous a choqués. Pourquoi seulement   7 étudiants ? Tous les étudiants qui répondent aux critères exigés  doivent avoir droit à cette bourse, sinon comment déterminer qui pourra y accéder ? Je vous laisse imaginer quels jeunes seront informés de ce contrat. « On est bien obligé d’aider les jeunes puisque l’Etat n’en fait pas assez »   nous a répondu le Maire. On a vu plus tard que 80% de cette bourse a été payée par des subventions de l’Etat.

 

Nous avons également demandé au Maire de modifier une délibération concernant les restaus du cœur : en contrepartie du prêt d’un local, le maire exigeait des restaus du cœur qu’ils entretiennent les abords de la Salle Georges Brassens, par le biais d’une association de réinsertion.

Nous avons trouvé le ton employé et la forme de la convention signée entre les deux  un peu trop dure et injuste. Le Maire a plié et a modifié la convention.

 

Il nous a également proposé de voter la création d’une pendule, dont on n’a pas bien compris comment elle fonctionnerait, si ce n’est que c’est « très culturel », avec des projections sur des supports plus ou moins définis. Enfin quelque chose qu’ils n’ont pas su nous expliquer car ils n‘avaient pas l’air d’avoir tout compris eux aussi, mais pour un montant de 90 000€ quand même. Peut-on se permettre ce genre de folie en ce moment ? Nous n’en sommes vraiment pas convaincus. Eux, si ! ce qui prouve qu’ils n’ont  pas conscience du mal être des gens en ce moment.

Mais enfin pendant qu’on parle de pendule, on ne voit pas le temps passer sans doute, et la pilule, elle passe peut-être mieux aussi.

On a aussi eu droit à un marché passé pour des jeux d’enfant, présenté également d’une façon un peu cavalière : Une fourchette entre 30 000 ET 150 000€. Comme s’ils n’étaient pas capables de faire le tour du parc des jeux d’enfant et de savoir à quelques euros près à combien pouvait s’élever la facture au final. Et bien il faut croire que non, puisque tout  a été voté.

 

URBANISME :

 

 Immeubles sociaux, l’habitat dégradé, rien ne change malgré les apparences puisque tous les immeubles neufs qui sortent de terre auront une ou plusieurs allées de logements sociaux, au milieu d’autres logements que j’appellerai « classique », c’est-à-dire en pure copropriété. On imagine tout de suite comment ça va se passer. Et  la majorité des logements en copropriété sont vendus dans le cadre de l’accession sociale à la propriété. On est bien d’accord que tout le monde doit se loger mais que tous les logements sociaux soient concentrés dans la même ville ne va pas arranger la paupérisation et cela est contraire à la mixité sociale indispensable pour relever le niveau. D’une part, sans richesse comment faire du social, et si tous les habitants qui sont encore en capacité de payer des impôts locaux quittent la ville par lassitude, comment pourrons nous aider les plus démunis ?

 

CTM : Je pense que vous savez que le tribunal administratif a fait annuler la délibération qui fixait l’enveloppe financière prévisionnelle à près de 7 Millions d’euros. Nous avions largement débattu sur le sujet. Nous nous étions étonnés du lieu, puisque la construction devait se faire dans la ZAC de Bans. Connaissant l’état du terrain, on y voyait mal parti. De ce côté, on a eu gain de cause, puisqu’ils ont décidé de ne plus construire du neuf mais de rénover l’ancien CTM. Cela dit l’enveloppe financière prévisionnelle restait la même. Pourtant le projet était complétement différent. Des constructions en moins, des démolitions en plus, de la rénovation. Nous avions évalué le coût du projet à son origine à 3.4 Millions d’euros il y a deux ans. Nous avons eu le montant de l’appel d’offre lancé dernièrement. Je vous le donne en mille, il est d’exactement 3.4 Millions d’euros. Comme quoi les miracles, ça existe.

 

Concernant le Centre aéré, il y a beaucoup de polémique. Nous avons été contactés par des habitants de Montrond. Ce qui les gênent le plus était, en plus du centre aéré, c’est la construction d’une salle associative. Deux salles ont déjà été brulées dans ce quartier. Pour avoir vécu à proximité d’une salle, je peux vous assurer que les samedis soirs sont durs à vivre. Nous sommes intervenus au Conseil municipal, en leur nom, puisque le maire ne les a pas laissés s’exprimer et a assuré qu’il n’était pas au courant du problème, alors que nous étions tous en possession d’une lettre que ces personnes lui avaient écrite. Il semblerait que le problème persiste comme nous avons pu le lire dans la presse. Mais comme d’habitude, coté mairie, c’est silence radio.

 

Un gros dossier, celui de l’hôpital de Montgelas, est traité en ce moment puisqu’il fait l’objet de deux demandes d’annulation auprès de tribunal administratif. Pour résumer, l’hôpital de Montgelas est un hôpital communal depuis l’origine c’est-à-dire depuis 1904. Le maire a décidé de céder ces terrains  et le bâtiment historique gratuitement  à l’hôpital. « Pour aider le développement de l’hôpital », dit-il partout. Il a trompé le conseil municipal, à deux reprises, puisqu’il a été obligé de représenter les délibérations une deuxième fois suite à une première requête que nous avions déposée. La première fois, il était incapable de donner l’estimation de France Domaine pour la valeur vénale des terrains et du bâtiment, ce qui est complétement illégal. La deuxième fois, il a évoqué une bourde administrative, et a communiqué l’estimation de France Domaine qui s’élève à 7.2 Millions d’euros. Il a même fait un conseil privé lors duquel le directeur de l’hôpital s’est exprimé et un notaire dont on ne sait pas aujourd’hui si c’était celui de la commune ou celui de l’hôpital qui a influencé le conseil municipal en parlant de l’ordonnance datant de décembre 1958, qui créait les établissements hospitaliers qui, par déduction, peuvent  être propriétaires d’un patrimoine immobilier. Le problème étant que cette ordonnance ne dit en aucun cas  que les communes devaient  faire cadeau de ses terrains aux dits hôpitaux. Nous avons proposé un bail emphytéotique gratuit, qui permettrait à l’hôpital de se développer de la même façon, mais sans démunir les Givordins de leur patrimoine. D’ailleurs, j’ai été très amusée de voir que les Hospices civils de Lyon avait été beaucoup plus malins, puisqu’ils ont fait un bail emphytéotique (pas gratuit en plus) à Eiffage pour la construction du nouveau complexe situé à la place de l’hôtel Dieu. Ce qui prouve que c’est possible et qu’on peut protéger son patrimoine tout en laissant se développer tel ou tel projet. D’ailleurs à cet effet, je me permettrai de faire une remarque au sujet d’un texte que j’ai lu dans le magazine « Vivre à Givors «  dans lequel Mr Durand se permet de juger notre action comme  stérile et politicienne. Alors je pense que si il y en a un qui ne peut pas se permettre de se mêler des affaires de Givors, c’est bien lui, parce que ce n’est ni par sa présence, ni par sa connaissance des dossiers givordins qu’il a brillé ses dernières années. Alors lui, je le renvois directement  dans ses 22 ! Qu’il fasse ce qu’il veut dans sa commune, et qu’il se taise quand il ne connait ni les tenants ni les aboutissants d’un dossier, sauf ceux qu’a pu lui donner Mr Passi qui j’ose l’espérer ne joue pas dans le même camp politique que lui. Les élus givordins  de l’UMP, parti de Nicolas Sarkozy que M. Durand prétend soutenir à l’élection présidentielle, travaillent sur le terrain et pas au milieu des petits fours !

 

Il reste le problème des inondations à Givors : Le Rhône bien sûr, mais aussi le Merdary qui a fait des siennes il y a peu de temps et pour lequel la solution choisie par Mr Passi n’est pas la meilleure puisque nous pourrons encore avoir des dégâts dus aux débordements des bouches dégoûts qui ne pourront pas évacuer tout le débit d’eau qui descendra de la colline. (Petit bassin de rétention et gros tuyau donc débit trop important)

Le SIGR, présidé par Mme Danielo Rosa, adjointe de Passi a opté pour une protection des crues du Gier  trentennale et non centennale. Encore faut-il pour protéger de la crue trentennale faire les choses dans l’ordre et correctement ce qui n’est pas le cas dans le plan d’action du contrat de rivière. Toute la vallée du Gier va être contrainte de se plier aux aléas du PPRI. Ce qui veut dire des refus de permis de construire. On se souvient du lotissement des cornets, plaisanterie qui a coûté 3 Millions à l’état. Tout ça parce que le maire n’a pas eu la jugeote de se dire qu’il était inconscient de laisser construire des lotissements sans prendre certaines précautions. Quand on pense qu’il est né à Givors et qu’il y est élu depuis 20 ans, ça fait peur.

Par contre pour le Garon, nous sommes heureux pour  les habitants que nous avions rencontrés il y a deux ans et à qui nous avions promis que nous ferions tout notre possible pour faire bouger le maire pour l’installation d’un batardeau. Le batardeau est enfin là depuis quelques semaines. Bataille gagnée !

 

ECONOMIE :

 

Le FISAC : Un projet très ambitieux pour Givors. La chambre de commerce et des métiers s’investit largement. L’association des commerçants de Givors aussi. Malheureusement, du côté de la Mairie, c’est moins évident. Rien n’est mis en place. Les rues commerçantes sont toujours aussi tristes et vides. Le stationnement n’est pas maîtrisé. Les actions ne semblent pas aboutir. Nous étions sceptiques quant à la capacité de la mairie à pouvoir gérer un projet aussi ambitieux Il  semble que nous avions raison. De plus, il ne suffit pas d’amener des commerces, faut-il encore qu’il y ait des clients, et ça c’est toute la politique de la ville qui est à revoir.

 

Le marché de Givors : La gestion de ce marché est confiée par la commune à une société privée qui fait environ 20 000€ de bénéfice chaque année. Nous nous interrogeons depuis 4 ans sur la rubrique « publicité » du rapport d’activité de cette société pour le marché. 15 336.61€ en 2007, en 2008, j’ai fait remarquer en commission que le montant était strictement identique, ce qui était troublant. Suite à notre intervention, nous avons obtenu un rapport d’activité avec 7130 € de publicité, puis de 2857.87€ en 2009 et 6239.00€ en 2010. La société Giraud n’a jamais apporté de justificatif à ces montants et ces écarts. Ou avez-vous vu de la publicité pour le marché ? Moi, je n’en n’ai jamais vu.

 

Le parking de la gare : Nous avions proposé un projet au début du mandat dans le défi Givordin avec notre plan d’urgence pour Givors. Le Grand Lyon avait également soumis il y a trois  ans plusieurs projets pour la Gare. Le maire n’était pas présent à ces réunions ! Alors avec sa carte T et ses pétitions, nous le trouvons un peu piteux dans cette affaire. En tant que maire et vive président du Grand Lyon, nous pensons qu’il pouvait s’en débrouiller tout seul.

 

Givors développement : Toujours en déficit. Toujours en procès pour le LIDL.

Nous avons également eu le rapport de la Zac de VMC. Encore une requête déposée au Tribunal administratif. Deux bilans différents nous ont été proposés. Un en commission et un autre au conseil municipal en octobre 2011, sachant qu’il s’agissait d’un bilan au 31.12.2010, donc bouclé depuis longtemps. De quoi s’interroger sur sa sincérité.

J’ai eu une conversation avec un vendeur de voiture dont je ne citerai pas le nom, mais qui m’a affirmé que le village de l’automobile était un fiasco et que certains concessionnaires hésitaient aujourd’hui à aller s’y installer. Où sont les 500 emplois qu’annonçait le programme de Mr Passi ?

Ce même vendeur m’a plutôt parlé de licenciements.

Une passerelle sur le Gier d’une valeur de 500 000€ devait être faite par Givors Développement sur ce site. En Décembre, une délibération a été proposée pour que ce soit la commune qui la prenne à sa charge.

 

LES SOCIETES PUBLIQUES LOCALES :   En Décembre 2011, le maire a proposé une délibération visant à faire voter le principe de faisabilité de démarches préalables au projet de constitution d’une SPL. Il faut savoir qu’une SPL est constituée que de deux ou plusieurs actionnaires qui ne peuvent être que des collectivités territoriales. Donc aucun actionnaire issu du privé, d’où, une facilité inouïe à réaliser des projets ou des services sans passer par les marchés publics et sans passer par le conseil municipal.

 

Pour finir, je vous parlerai de nos actions ponctuelles :

3 annulations au Tribunal administratif : Celle du CTM dont nous avons déjà parlé, et 2 pour les bruyères. Le maire voulait faire payer à la commune 235000€ de travaux effectués par Givors développement, pour le compte de la commune, mais jamais aucun marché n’a été passé, ni aucun mandat donné, le tribunal a donc annulé ces deux délibérations. 235 000€ économisés pour les contribuables givordins, c’est une belle victoire.

Nous avons obtenu la liste des véhicules de la mairie. Nous avons constaté que plusieurs voitures faisaient moins de 1000 kms par an…Déjà il serait intelligent de réorganiser le parc.

Mais surtout il y avait des voitures qui avaient 0 km au compteur mais avaient dépensé 1000 euros de carburant, sans oublier celles qui marchent  à l’essence et au gas-oil.

 

Nous sommes également intervenus pour des problèmes de stationnements gênants Rue de la République qui rendaient la circulation difficile et compromettaient   la sécurité des passants. Le sytral a décidé de modifier son le sens de circulation des bus. Aucune action de la mairie.

*Le batardeau pour la Cité du Garon, on a en a déjà parlé

*Les personnes qui nous ont contactés pour Montrond  aussi

*Une personne nous a écrit également pour nous remercier de nous être indignés que les séniors n’aient droit à un colis de Noël qu’à partir de 90 ans.

*Une personne nous a signalé qu’elle avait été très mal reçue à la mairie alors qu’elle venait se plaindre qu’on ne voulait pas prendre son enfant au restaurant scolaire parce qu’il était demandeur d’emploi.

*Une personne également nous a fait part de sa révolte quant à l’insécurité et les incivilités de certains jeunes Promenade Maurice Thorez. Nous avons pu constater dans la presse que dans toutes les réunions de quartiers les riverains se plaignaient en général des mêmes choses. Soit la saleté dans les rues, les trottoirs défoncés, les incivilités et l’insécurité notamment aux Vernes et Promenade Maurice Thorez. Les cités HLM sont plus particulièrement touchées. J’ai vécu moi-même de nombreuses années dans ce genre de cité, je sais l’angoisse et le dégoût qu’on peut y ressentir. Les murs tagués, les boîtes aux lettres défoncées, les excréments dans les montées d’escalier, les voitures volées ou incendiées, les insultes des jeunes voyous ou les regards provocateurs. Les personnes qui habitent dans ces cités ne sont pas des veaux, ils méritent de vivre en sécurité et en toute dignité. C’est inadmissible que quelques voyous dévastent ce qui pourrait être des quartiers agréables à vivre. Je pense qu’il faut comprendre les habitants et les écouter et dénoncer tout cela publiquement parce qu’eux ont peur de le faire. Quand on vit dedans, croyez-moi, on a peur pour ses enfants, on a peur pour ses biens et souvent, le silence est la seule solution qu’il leur reste pour avoir un minimum de tranquillité. C’est scandaleux !

L’Etat donne beaucoup de subventions à la commune par l’intermédiaire de la politique de la ville, mais une fois de plus le maire et ses adjoints ne les utilisent pas correctement.

Par l’exemple, dans le domaine de l’urbanisme, l’ANRU a financé à hauteur de 1 949 948 euros la démolition de l’allée J. Duclos.

L’ANAH apporte un financement de 2 248 000 euros.

La commune touche de L’Etat une dotation de solidarité urbaine (DSU) de 1 300 000 euros.

Les actions du CUCS (Contrat urbain de cohésion sociale) sont financées par l’Etat à hauteur de 123 000 euros.

 

Michelle Palandre

 

Le 05 mars 2012